« Nicolas Gaudemet fait voisiner Jung et Nabilla avec une aisance stylistique jubilatoire », Tara Lennart, BookaliciousTV La Fin des idoles Blogs 1 avril 20189 mai 2020 View this post on Instagram La fin des idoles. @nicolasgaudemet @tohubohu.paris Andy Warhol l’avait prédit : tout le monde voudrait un jour avoir son 1/4 d’heure de célébrité. Au regard d’un quotidien saturé par les écrans, sa maxime était bien prémonitoire. Dans cette dystopie (qui n’est pas sans rappeler les thématiques de « Glamorama » de BEE et « Cortex » d’Ann Scott) neurosciences et psychanalyse s’affrontent, elles aussi, dans ces nouveaux jeux du cirque que sont les émissions de télé, autour de Paloma, ancienne starlette de téléralité qui sombre dans l’oubli et la dépression… Qui gagnera la bataille, et à quel prix ? Premier roman fin et pertinent, « La Fin des Idoles » décrit un monde bien familier et pointe son exhibitionnisme maladif avec justesse. L’auteur évite les clichés et livre une vision philosophique de cette société du spectacle que nous critiquons tout en la nourrissant de notre plein gré. Fin analyste de l’époque Nicolas Gaudemet fait voisiner Jung et Nabilla avec une aisance stylistique jubilatoire. #litteraturefrancaise #livre #instabook #litterature #livreaddict #livrestagram #lecturedumoment #lecture #lafindesidoles #nicolasgaudemet A post shared by Bookalicious (@bookalicioustv) on Jun 29, 2018 at 9:07am PDT